Van: Fondation Pcesse de Croÿ Cher Mr Gatz, Je reçois copie de votre courrier avec surprise. Nous n'avons pas reçu la réponse de Mme Novalet-Van Vooren, échevin VLD à Saint-Gilles, à quatre courriers, dont le premier a été envoyé en mai au service des affaires flamandes de Saint Gilles. Pour rappel, cela fait plus de cinq ans que l'aile de mon hôtel particulier tombe en ruine, sans que je ne parvienne, même par voies judiciaires, à faire réparer un trou dans le toit. Pourtant, j'ai payé plus de 32.000-euro pour ce faire, en ce compris les frais d'avocats, en l'attente que la justice définisse les responsabilités. Il s'est avéré récemment que le blocage des copropriétaires minoritaires de la maison avait eut à la source, un permis d'urbanisme octroyé suite à une erreur administrative ! Le Werkgroep Morkhoven, dont le siège social est domicilié là, subit cette situation depuis quatre ans, stupéfait de voir la manière dont le service des affaires flamandes traitent un dossier où des flamands sont gravement lésés à Bruxelles. Nous savons qu'un bourgmestre est en mesure de faire effectuer des travaux dans la quinzaine, lorsqu'il y a situation de danger pour la sécurité publique et la santé des occupants d'une maison. Ceci est le cas, confirmé par le service de l'hygiène de la commune de Saint Gilles. La lenteur de la justice étant, la seule solution est que la commune fasse appliquer la nouvelle loi communale sans plus tarder et ce à charge de qui de droit, ainsi que Mme Wille nous l'a assuré le 26 janvier 2007. Il n'y a donc aucun justificatif, à ce que la situation reste inchangée, six mois plus tard et malgré nos appels au secours, sinon un but de nuire, ou de nous chasser de chez nous. Nous savons également que la commune n'aurait jamais osé pareil comportement du vivant de mon père, lui imposant des conditions de vie en violation des lois européennes ou l'obligeant à déménager de sa chambre à coucher ! L'an dernier, Mme Ampe, parlementaire du VLD, ne trouva pas mieux que de me conseiller de vendre mes appartements, depuis avérés ruinés des suites d'une « erreur administrative ». Je devrais donc renoncer à la moitié de mon capital pour l'offrir à un heureux acheteur qui pourra reconstruire en obtenant le respect de ses droits fondamentaux que la commune me refuse ? J'ose donc espérer que les responsables politiques se positionneront dans une affaire manifestement politique et je m'engage à soulager Saint Gilles de ma présence, à la condition que je puisse revendre mon bien à sa valeur réelle. Bien à vous, Jacqueline de Croÿ ----------------- Foto: les activistes du Werkgroep Morkhoven http://groups.msn.com/woonbeleid-PolitiqueduLogement/ Sven Gatz est membre du VLD au Parlement bruxellois |
lundi 30 juillet 2007
La politique du logement à Bruxelles
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